DISTRIBUTION
Texte et mise en scène Frédéric Sonntag
Avec Romain Darrieu, Amandine Dewasmes, Nino Rocher, Malou Rivoallan, Fleur Sulmont et Paul Levis
Création musicale Paul Levis
Création et régie vidéo Thomas Rathier
Création et régie lumière Manuel Desfeux
Scénographie en cours
Costumes Hanna Sjödin
Maquilleuse / Coiffeuse Pauline Bry
Régie générale et plateau Boris Van Overtveldt
Administration, production, diffusion Emilie Henin
PRODUCTION
ASA NISI MASA (2026)
Coproductions Théâtre de la Cité - CDN de Toulouse Occitanie, Scène nationale d'Alençon, le Trident - Scène nationale de Cherbourg (en cours)
Résidences Théâtre Silvia Monfort, Théâtre Ouvert, Théâtre Public de Montreuil, Théâtre de la Tempête, CNES - Chartreuse de Villeneuve-lès-Avignon.
BIOSPHÈRE
création du 12 au 19 mars 2026
au Théâtre de la Cité - CDN Toulouse Occitanie
A partir de 13/14 ans.
2025, Hautes-Pyrénées, un entrepreneur fantasque et un collectif d’artistes et de scientifiques aventureux ont fait surgir de terre LA BIOSPHERE, un projet imposant au croisement de la prouesse technologique, de l’exploration spatiale, et de l’utopie artistique.
Une équipe de cinq personnes s’apprête à s’enfermer deux ans dans cet habitat futuriste clos et autonome reproduisant à petite échelle un écosystème terrestre. Elles vont y simuler une mission sur une autre planète en tentant d’y vivre ensemble en totale autosuffisance et en interdépendance avec leur environnement.
Mais les obstacles vont vite se multiplier : d’étranges phénomènes se manifestent à l’intérieur de la Biosphère et lorsque le taux d’oxygène commence à chuter dangereusement, l’écosystème se dégrade, faisant voler en éclat l’unité du groupe et révélant les nombreuses ambiva-lences de cette aventure futuriste aux airs de paradis perdu.
Cette aventure rocambolesque, inspirée d’une histoire vraie (le projet Biosphère2 dans les années 90), multiplie les références romanesques et cinématographiques (Jules Verne, Solaris, 2001 Odyssée de l’espace) et propose une réflexion sur les paradoxes de nos existences « capsulaires » à la fois confinées et connectées, techno-dépendantes et éco-responsables, ouvertes au monde et repliées sur soi. Avec ce huis-clos existentiel et fantastique, Frédéric Sonntag déploie une narration polyphonique qui multiplie les points de vue pour explorer toutes les facettes de cette expédition burlesque et romanesque, poétique et dystopique, attachante et terrifiante, où l’utopie qui l’a fait naître porte à la fois en elle les germes de sa désillusion et de son réenchantement.